Bon, alors voilà.
Parfois je vois les images d'un album, des illustrations, je lis quelques lignes au dos d'un livre. Elles m'emportent dans un endroit et un moment que j'ai l'impression de connaître et que je sais aimer. Aimer intensément, comme un rêve dont on sort avec la certitude qu'il raconte quelque chose d'essentiel, un rêve qu'on veut reprendre maintenant.
J'aimerais pouvoir mieux l'expliquer. Ca a sans doute à voir avec l'enfance - une enfance idéale - et le regard d'adulte que je lui porte.
Ca a à voir avec le désir.
Ca a à voir avec ce que je voudrais fabriquer - écrire ou composer.
Mais ça m'échappe sitôt l'image dissipée, le livre fermé. On dirait un paysage lumineux à la fenêtre d'un train, entre deux tunnels.
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Quelques soucis dans la rédaction des aventures d'Alec. Shen me donne du fil à retordre. On pouvait s'en douter : dans le genre fille facile, on a vu moins coton. Les alliés manquent pour me prêter main forte. Je vais lui régler son compte, à la belle succube.
mercredi 21 avril 2010
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4 commentaires:
Très étrange de voir par écrit ce qu’on ressent ! ^^
Très émouvant cet article…
Merci.
Fais de ton mieux, Erik ; on est avec toi, de toute façon ;-)
FreD
Merci à vous deux !
Promis Fred, je ferai de mon mieux !
Allez, la même en japonais^^ Ganbatte, Erik-san ; omae naraba dekiru \o/
FreD
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