Terminé les corrections d'une nouvelle à paraître chez Mnémos, pour une anthologie dirigée par Stéphanie Nicot.
Déjà, j'étais content de faire partie de l'aventure - merci Stéphanie.
Ensuite, je suis content du résultat. Je ne vais pas bouder mon plaisir, non mais !
Plus le temps passe, plus une certaine sécheresse accompagne ces textes courts. Ca n'est pas une facilité, loin de là : j'ai une propension non négligeable à m'étendre sur la description, avec fleurs et pompons, vous voyez... Alors j'élague, m'efforce à trouver en peu de mots et encore moins d'adverbes et adjectifs le sens d'une scène, d'un sentiment, d'une motivation.
Quand ça marche, c'est jouissif, c'est vraiment jouissif.
En revanche, écrire des dialogues brefs en forme de réparties est de plus en plus spontané. Et le plaisir toujours plus grand. Je n'en suis pas à atteindre la classe d'Elmore Leonard, ou celle des grands cyniques britanniques. Ô que non.
Mais je m'amuse.
Et puis, je me jette désormais avec plus d'entrain dans le grand bain de l'émotion.
Cette fois, il s'agit d'un vieil homme, magicien et mercenaire de profession, sur le point de mourir. Il ne lui reste que quelques jours à vivre et un trésor à découvrir. Du moins, une voyante le lui a-t-elle affirmé.
Une course contre la montre s'engage alors que le bonhomme, une grande gueule pas très recommandable, se lance dans l'ascension d'une montagne.
L'antho paraîtra en mai.
Pile pendant le festival Imaginales. Elle est pas belle la vie ?
mardi 20 avril 2010
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