mardi 16 mars 2010

Gorillaz à la plage


Quand mon chouchou sort un nouvel album, je biche vous pensez bien… Son précédent projet, The Good, the bad and the Queen a écrit l’un des trois albums que j’ai le plus écouté depuis 2007.

Elève dissipé et inventif, un peu branleur et attendrissant Damon Albarn a bien appris la leçon : héraut de la défunte brit-pop, il n’a jamais laissé au cadavre le temps de refroidir. Façon Doc Frankenstein, il assemble, couture, suture. Pour donner vie à l’ensemble, un secret : le zeste de fantaisie.
Ça pique un peu, ça parfume et ça donne le sourire.

Cette fois, il récidive avec Gorillaz et renoue sur cette Plastic Beach avec quelques touches hip-hop du 1er opus. Pas vraiment ma came.
Mais comme il aime tout un tas de choses, Albarn, on retrouve sur sa grève du dub, des cuivres du Liban, Lou Reed, des beats electros, des string machines du meilleur goût et même Bob Womak.
Le tout avec assez de légèreté pour songer à l’été en plein mois de mars.

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