jeudi 25 novembre 2010

J'aime ma vie 2010



Dans la série "J'aime ma vie 2010" :
Après la publication de mon thriller dans une grande maison d'édition,
Après la collaboration musicale avec 2 artistes pros...

L'adaptation en bédé des Dragons de la Cité Rouge.

D'accord, je ne respecte pas tout à fait la chronologie. La bédé, le scoop date de l'an passé - je fais ce que je veux c'est mon blog et my own private time machine.
Seulement voilà, j'ai déjeuné avec le dessinateur/adaptateur Adrien Floch accompagné de ses éditeurs et moi des miens -je vous fais grâce du name dropping, voyez comme je suis bon.
Et, bien que le déjeuner n'ait pu s'étendre au-delà du raisonnable, ce fut un moment aussi excellent qu'amical, doublé d'un sentiment de satisfaction egocentrique aigüe.
En effet, pour quelqu'un dont la propension aux geignements complaisants ne fait plus débat, je me suis dit, les fesses calées dans le rose TGV du Paris-Rennes : "ben merde Erik : XO, Bragelonne, Soleil et NicoM+Guillaume...* tout n'est pas perdu, mon vieux. Il restera quelque chose de tes rêves d'ado."

Et nom de Dieu, ça c'est irremplaçable.

*les points de suspensions sont là pour 1/me rappeler que je dois quérir mon immarcescible BX sous la fraîcheur matutine (cette assertion pour Anne R. et Alain T.) 2/que je n'ai rien à ajouter mais que je fais genre.

mercredi 24 novembre 2010

Point de suspensions


Il y a des moments comme ça, dans la vie, où il faut changer les pièces de son véhicule.
Les pièces primordiales. Pourquoi ? Pour conserver la bonne direction. Ne pas tomber en rade, éviter les voies de garage et les impasses. Ma BX - ça y est je l'ai dit, ok je roule dans la caisse la moins glamour des 80's avec la R14 ; au moins Julien Clerc, il aime, aime, aime - ma BX donc a bien vécu, du haut de ses suspensions hydro-électriques. Je lui rendrai bientôt sa liberté.
Dès que j'aurai vendu quelques livres de plus...

(Oooh ooh oooh, ils consommaient quoi, exactement, les créas à l'époque ?)

jeudi 11 novembre 2010

Les filles et le Goncourt des Lycéens

France Culture, fin de journée. Un doc' sur le Goncourt des Lycéens. Après les questions posés aux nominés, les élèves répondent. Des filles, des filles et encore des filles. Et elles parlent avec un million de sourires, et elles sont passionnées et tout ça leur semble naturel. 14 romans lus en 2 mois. Fiches de lecture comprise. Avec les devoirs à ne pas négliger, bien sûr : le lycée ça plaisante pas trop avec le boulot.
Puis elles doivent défendre leur candidature, celle de représenter leur établissement lors de la 1ère étape de délibérations à Angers.
Elles y mettent une telle évidence, une telle motivation avec des mots que ne pâlit aucune hésitation que l'émotion me gagne.
Les filles, vous êtes les meilleures.

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Le Goncourt des Lycéens a été attribué cette année à Matthias Enard pour son roman Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants. Ça se passait à Rennes.

mardi 9 novembre 2010

NicoM et moi




Parmi les choses que je tenais absolument à annoncer pendant la poignée de minutes qui me seraient accordées sur le plateau de LCI : le projet avec NicoM.

Nicolas est musicien. Je veux dire, un putain de musicien. Ajoutez de l’italique et du gras et des capitales et vous aurez une idée de son talent. Une toute petite idée. C’est un virtuose de la guitare doublé d’un chanteur soul plein de sensibilité.

Je l’ai découvert l’été dernier au hasard de mes navigations sur le site MMC.

Vous savez peut-être que je me suis amusé à composer des thèmes pour mon roman. Ils sont longtemps restés à l’état d’esquisses.

Puis j’ai entendu la guitare de NicoM, je l’ai vu composer en direct sur un clip destiné à remercier ses prods MMC et stupéfié par la performance me suis dit que je n’allais pas laisser passer cette chance. Le deal ? « je te file une mélodie, tu l’arranges à ta façon avec ta guitare et ta voix ».

J’ai hésité, laissé passer un peu de temps, cherchant d’autres thèmes à lui présenter.

Puis je me suis jeté à l’eau.

Un message glissé dans sa boîte mail et il a aussitôt pris son téléphone pour qu’on en parle. A ma grande joie, l’idée lui faisait faire autant de bonds qu’à moi. Miracle du Web : je lui ai envoyé plusieurs extraits de compos pour qu’il fasse son marché.

Et de ces ébauches interprétées au piano, NicoM est en train de créer un bijou, avec la complicité de Guillaume Spitz, prod-arrangeur + co-compositeur et clavier de Emily Lady, elle aussi une artiste MMC.

Le projet prend forme ces jours-ci avec l’enregistrement à proprement parler de la chanson. Du côté de Marseille.

Je suis heureux. Ce genre de collaboration est un vieux rêve. Qu’il se réalise grâce à un roman lui donne un supplément d’âme.

Bon, il faut que j’en écrive les paroles maintenant.

lundi 8 novembre 2010

LCI


On vous appelle pour participer à une émission télé. Vous acceptez parce que bien, sûr, il le faut : c’est la promo après tout, autant mettre un maximum de chances de son côté.

La télé. Ok. Cool.

A peine avez-vous raccroché que vous prenez la mesure de l’engagement.

La télé. TF1. Enfin, LCI, la Chaîne de l’Information. Enregistrement dans les conditions du direct : l’émission est diffusée avec un différé de 10 mn. Si vous ratez la marche, faites un lapsus, oubliez une info c’est too bad for you : le montage n’est pas une option.

L’émission : Le Buzz, un programme qui cause du web.

Vous allez donc parler de My Major Company Books, de vos coéditeurs, de votre rapport à Internet. Vous allez devoir défendre votre roman. Le tout sans vous ridiculiser. 10 mn chrono. 10 mn pour être sympa mais spontané, vendeur mais sincère.

Ah ouais.

Voilà, ça y est le mal de ventre est installé, bien à l’aise près du diaphragme, sans parler des spasmes intestinaux. Il ne vous lâchera plus pendant 72 heures, comme une crampe interminable. Vous devenez irritable. Le sommeil se fait la belle. Quand vous dormez ce sont des cauchemars et rien d'autre.

On ne combat pas l’anxiété, on la distrait.

Alors vous préparez des réponses à des questions que vous ne connaissez pas. De balbutiements en digressions vous comprenez que vous n’êtes pas prêt du tout. A côté de la plaque. Ça s’annonce mal.

Mais il faut y aller. Bernard Fixot sera à vos côtés sur le plateau. C’est un pro, un allié. C’est votre éditeur, votre boss. Le décevoir ? Autant changer de maison.

A Paris le jour J, vos attachées de presse, adorables, vous rassurent comme elles peuvent. Vous sortez la plaquette d’Atarax, elles proposent un sucre aux plantes. Vous prenez les deux et un verre de vin. Vous avez de plus en plus mal au ventre, comme si vous sautiez à l’élastique depuis le 47e étage, avec la sensation de jouer votre carrière et l’avenir de votre descendance.

Puis vous voilà dans le hall de TF1. THE chaîne de tv nationale avec des morceaux de stars dedans.

Une hôtesse d’accueil blasée, glaciale et foutue comme une couverture de Grazia vous hèle : « Monsieur Vétrelle ? »

Ça doit être vous, puisqu’elle insiste.

Vous plaisantez dans l’ascenseur, elle n’a pas vraiment envie de parler, et c’est loupé pour apprendre une anecdote croustillante sur le comportement des people.

Vous pourriez lui parler de vous si seulement elle s’intéressait aux invités.

L’hôtesse vous entraîne le long de couloirs vides. L’un d’eux est percé de part et d’autre de lucarnes ; on y voit en contrebas des cintres où pendent des projecteurs gros comme des fûts de bière : les plateaux, avec leur décor circulaire.

La télé.

Si maman savait… Car vous ne l’avez pas encore dit à votre mère de crainte qu’elle ne vous appelle toutes les 5mn pour s’assurer l’heure de diffusion, que votre chemise est pour une fois repassée, qu’elle peut prévenir ses amis, que vous vous êtes sûrement planté dans l’horaire car le programme ne vous recense pas parmi les invités de l’émission...

Vous voyez les plateaux de TF1 et vous pensez à votre père qui a été nageur de combat, capitaine au long cours, pilote de ligne et que rien n’effrayait. Vous pensez à votre fille qui regardera l’émission. Vous pensez aux coéditeurs qui comptent sur vous. Et vous pensez à votre compagne que vous ne voulez pas décevoir.

Au pied d’un escalier vous rencontrez les animateurs. Ils sont sympas, ils sont rassurants. Ils ont envie que tout se passe bien. Pour la 1ère fois vous imaginez qu’un plateau tv n’est peut-être pas conduit par des tortionnaires qui veulent rire de vos souffrances. Un répit de courte durée.

Incapable de tenir en place vous piétinez entre les canapés. Vous regardez des photos accrochées sur les murs. Un train éventré, des secouristes : les attentats de Madrid. Des images de guerre, d’inondations. Formidable. A LCI on sait s’y prendre pour détendre les invités.

Vous passez au maquillage en même temps que votre éditeur – il vient d’arriver. La maquilleuse n’a pas vraiment envie de parler, et c’est loupé pour chopper les anecdotes croustillantes sur les manies des stars.

Vous pourriez lui parler des vôtres si seulement elle s’intéressait à la conversation.

Un assistant vient vous chercher. Il faut franchir des sas sécurisés. Vous traversez une salle sombre comme un poste de commandement dans un film de Tony Scott. Plein de gens très sérieux sont tournés vers un millier d’écrans plats ; vous pourriez tout aussi bien mourir d’un infarctus : ils resteraient vissés à leur console comme si l’avenir de la CIA/du président des USA/de l’Occident en dépendait.

Encore une porte et c’est le plateau. A l’exception des animateurs à leur poste et d’un caméraman aussi furtif qu’un ninja les lieux sont vides.

Vous comprenez tout à coup : c’est une répétition. Voilà, c’est ça, vous allez jouer à l’émission de télé, c’est pour de faux.

Mais non.

Un jingle, l’animatrice annonce le sujet, c’est parti et ça va vite, ça va très vite. Vous écoutez votre boss répondre aux questions, il a beaucoup de choses à dire, vous l’entendez à peine, votre cœur fait tellement de bruit et puis tout à coup c’est à vous. Vous débitez quelques mots à une vitesse surnaturelle, accordée au rythme de votre cœur qui est peut-être sur le point d’exploser. Devant vous, un petit écran camouflé dans la table. Vous évitez de le regarder parce que c’est vous qu’on y voit - et qui aimerait assister à son propre naufrage ? Pareil sur le mur, là-haut. Vous êtes partout, dans la table, sur les murs, vous êtes dans les tuyaux.

Vous êtes à la télé.

jeudi 4 novembre 2010

LCI




Demain, je serai sur la chaîne LCI pour l'émission "Le Buzz". En compagnie de Bernard Fixot, mon éditeur. Et vous savez quoi ? Je suis heu-reux ! Ah, je ne dis pas que je vais dormir tout à fait tranquille, hein. Le trac. La trouille de ne pas dire tout ce qu'il faut dans le temps imparti : parler de mes chers coéditeurs qui m'accompagnent dans cette aventure depuis le mois de juin. De leur enthousiasme, de leur impatience...
Et puis, il y a ce projet musical dont j'ai vraiment envie de parler demain. Et qui a un rapport certain avec Ne Cherche pas à savoir.
Mais, oui, je suis vraiment content de pouvoir enfin parler de mon roman et de l'expérience XO-MMCB sur un plateau.
Vivement demain.

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Et il faudra que je vous parle de la Route du Rhum, un de ces jours...

mercredi 3 novembre 2010

Sur les tables

Prise depuis un smartphone - yeah - ce mercredi 3 novembre, à Rennes. Soit quelques heures avant la parution officielle. Ça ne chaume pas au Forum du livre. Au taquet.
Si je suis fébrile ?


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Vendredi, direction Paris. D'abord pour tourner quelques images pour une chaîne d'infos en compagnie de Bernard Fixot. Ensuite pour dédicacer Ne Cherche pas à savoir en compagnie de mes compagnons Ligueurs, au Virgin des Grands Boulevards. D'abord j'ai mal au ventre. Ensuite je vais bien m'amuser. Pour célébrer avec un peu d'avance ces grandes heures, j'ai fait quelques emplettes vestimentaires.
Je trouve que ma vie est particulièrement chouette, en ce moment.

Complètement tarte !




La cuisine, pour ne pas dire la gastronomie, c'est une affaire de famille. Ma grande-tante cuisinait pour Pauline Carton et nous a transmis la recette des Bitocks (ça n'est pas Cloug et c'est bon).
Ma mère ne sait plus où ranger ses livres de recettes et quand je reviens de sa table, je ne sais plus où ranger mes kilos .
Ma sœur se fournit chez Passard et son compagnon photographie Passard.
Du sérieux, je vous dis.

Comme chez nous on aime partager hop ! on en fait des livres. Ou plutôt Caroline s'en charge, avec talent - et ne venez pas m'accuser d'être juge et partie, je plaide coupable sans vergogne.

"Complètement tarte" est l'un de ses bouquins. Du savoureux, du généreux et mieux encore, bien mieux. Hier, ma Douce et moi avons essayé une tarte aux épinards, ricotta et amandes. Si vous préférez les tartelettes façon cheesecake au saumon ou les tart'in aux courgettes râpées et pignons de pin, c'est possible. Pour les becs sucrés, pâmez-vous devant une tartelette briochée à la poire et noisettine caramélisée, now !

Le mieux que vous auriez à faire, en cette demi-saison où les crudités ne sont plus tout à fait d'actualité et où la raclette ni la carbonnade ne s'imposent encore, c'est d'acheter son livre et de vous offrir une bonne paire de tartes.

Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu




Quelle raison a bien pu me pousser à voir le dernier Woody Allen? Une averse insistante ? Je veux dire, il y a longtemps que le scénariste a tout dit, sans même parler de l'acteur. Chouchou des bobos – sorte de clan vaste et mou dont je fais partie à mes heures, je ne vais pas me débiner – Allen poursuit sa route d'un métrage à l'autre, sans autre souci narratif que cette sempiternelle démonstration : les jeux de l'amour ne sont que le paravent joliment décoré d'âmes lâches et torturées. Dit autrement : love-story, c'est faux-semblants, désillusions et compagnie.

Et Allen, il démontre, démontre et démontre encore avec pour outil une inspiration plutôt défaillante. Résumer la trame de ce Bel et sombre inconnu ? Galeriste d'art en instance de divorce, écrivain best-seller sirotant sa bière en attendant le verdict de son éditeur, retraité millionnaire carburant au Viagra : on souffre dans les beaux quartiers new-yorkais, euh, pardon- londoniens. Ou parisiens ? Arf, j'ai un doute, soudain. Affres de la création littéraire, malentendus vaudevillesques : la bourgeoisie s'ennuie en parlant beaucoup, en faisant peu. Comme à l'accoutumée, le défilé de stars tient lieu chez Allen de trouvailles scénaristiques. Pas bête : paraît qu'on se bouscule pour intégrer dans sa filmo un film du tragi-comédien de Manhattan. Désolé les copains, fallait y penser il y a vingt ans, quand le maître avait du neuf dans son stylo.

Cette fois, Naomi Watts, Anthony Hopkins, Josh Brolin, Antonio Banderas s'y collent. Hopkins campe avec le talent qu'on lui connaît un vieux riche paumé, affolé à l'idée de voir ses derniers moments de virilité s'enfuir à jamais. Les autres ont bien plus de mal à incarner des dialogues sans verve, qu'une voix off aussi désuète qu'intrusive commentent ici et là. Tout de même : Lucy Punch, improbable escort-girl au fort accent populaire, est la principale lumière de ce casting. Ah, la prostitué au grand cœur… Comme je suis sympa, je vais dire que c'est un motif récurrent d'Allen.

Autre élément réjouissant à compter dans la colonne "réussites" : pas un personnage n'est à sauver. Moralement, s'entend. Pour un peu, on se croirait dans une comédie dramatique britannique (London ! It all makes sens now...) tant chacun dévoile à un moment ou un autre une facette peu salubre de son caractère, des motivations moisies. J'adore.

En somme, voir le dernier Woody Allen, c'est comme retourner sur les lieux d'une colonie de vacances aujourd'hui abandonnés : les murs sont toujours là, la lumière n'a pas changé mais il n'y a plus personne pour jouer avec vous. Pourquoi donc s'infliger le spectacle d'un scénariste-réalisateur qui tourne en boucle, qui de son propre aveu ne passe pas plus de deux mois à écrire un scénario et tourne quoiqu'il arrive une fois l'an ? Allez, sans doute parce que son méconnu et décrié Rêve de Cassandre m'avait ému.

lundi 1 novembre 2010

Back from the abonnés absents


Je constate avec effarement que je n'ai point posté de tout le mois d'octobre et que septembre se réduit à une communication. Je sais, vous êtes des millions à réclamer un nouveau message, une image, un mot. N'importe quoi qui ressemblerait à un signe de vie.
Bip... Bip.... tuuuuuuuuuuu....

Pourtant je vous assure, je suis là et bien là. Soyons plus clairs : tantôt à Rennes, tantôt à Paris, tantôt à St-Malo - et, en chacun de ses lieux, en différents endroits.
Il m'arrive parfois de ne pas savoir, à cette heure matutine à laquelle je n'ose encore soulever les paupières, où je vais me lever exactement. La chambre d'un hôtel ? Chez ma sœur ou mon éditeur ? Sur une mezzanine dans le XIVe ? Ibis ? Pullman ? Un futon, un sac de couchage ?

Pendant un moment je me considérais casanier. Sans blague. Je bouge beaucoup et mon bilan carbone ne plaide pas pour moi. S'il y a bien une chose que m'a enseigné le métier d'écrivain, c'est d'apprendre à dormir sur n'importe quelle literie, et de préférence après quelques heures de transport. La boule Kiès est mon amie.
Non, je ne suis pas en train de me chercher des excuses.

Si j'ai moins posté ici, c'est que je suis présent sur Facebook où je fréquente une bonne bande de potes - et peut-être vous, par la même occasion. Sur FB et sur My Major Company Books (voir plus bas, je radote, sans doute l'effet des allers-venues). Paraît que de nos jours, il faut être partout à la fois (voir plus haut). Je veux bien mais je ne suis pas le chantre du copier-coller. Twitter ? Why not. J'y ai ouvert un compte, d'ailleurs, comme d'autres s'achètent une énième voiture s'imaginant qu'ils auront le temps de cruiser en chacune d'elles.
Seulement le micro-blogging n'est pas ma tasse de thé - pas encore.

Bref, tout ça pour dire que je reviens faire un tour par ici, alors que mon roman va bientôt paraître. Vous serez où le 6 novembre ? Moi, je dédicacerai au Virgin des Grands Boulevards, à Paris. Dès 18h00 et en compagnie de la Ligue de l'Imaginaire.

Ah, et je mange toujours autant de bretzels. Un sevrage est envisagé. Comme je suis homme de peu de volonté, n'y comptez pas trop.