lundi 1 novembre 2010

Back from the abonnés absents


Je constate avec effarement que je n'ai point posté de tout le mois d'octobre et que septembre se réduit à une communication. Je sais, vous êtes des millions à réclamer un nouveau message, une image, un mot. N'importe quoi qui ressemblerait à un signe de vie.
Bip... Bip.... tuuuuuuuuuuu....

Pourtant je vous assure, je suis là et bien là. Soyons plus clairs : tantôt à Rennes, tantôt à Paris, tantôt à St-Malo - et, en chacun de ses lieux, en différents endroits.
Il m'arrive parfois de ne pas savoir, à cette heure matutine à laquelle je n'ose encore soulever les paupières, où je vais me lever exactement. La chambre d'un hôtel ? Chez ma sœur ou mon éditeur ? Sur une mezzanine dans le XIVe ? Ibis ? Pullman ? Un futon, un sac de couchage ?

Pendant un moment je me considérais casanier. Sans blague. Je bouge beaucoup et mon bilan carbone ne plaide pas pour moi. S'il y a bien une chose que m'a enseigné le métier d'écrivain, c'est d'apprendre à dormir sur n'importe quelle literie, et de préférence après quelques heures de transport. La boule Kiès est mon amie.
Non, je ne suis pas en train de me chercher des excuses.

Si j'ai moins posté ici, c'est que je suis présent sur Facebook où je fréquente une bonne bande de potes - et peut-être vous, par la même occasion. Sur FB et sur My Major Company Books (voir plus bas, je radote, sans doute l'effet des allers-venues). Paraît que de nos jours, il faut être partout à la fois (voir plus haut). Je veux bien mais je ne suis pas le chantre du copier-coller. Twitter ? Why not. J'y ai ouvert un compte, d'ailleurs, comme d'autres s'achètent une énième voiture s'imaginant qu'ils auront le temps de cruiser en chacune d'elles.
Seulement le micro-blogging n'est pas ma tasse de thé - pas encore.

Bref, tout ça pour dire que je reviens faire un tour par ici, alors que mon roman va bientôt paraître. Vous serez où le 6 novembre ? Moi, je dédicacerai au Virgin des Grands Boulevards, à Paris. Dès 18h00 et en compagnie de la Ligue de l'Imaginaire.

Ah, et je mange toujours autant de bretzels. Un sevrage est envisagé. Comme je suis homme de peu de volonté, n'y comptez pas trop.

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