mardi 27 octobre 2009

Back to the future...

Allo Maï-Taï ?
St-Etienne, donc, pour deux journées de dédicaces.
Samedi soir : Geoffroi-Guichard n’a pas vu la victoire de son équipe, mais elle avait Fabrice Colin dans les gradins. On ne peut pas tout avoir.
Rattraper le coup ? Fiesta !
Sous la pluie, à l’abri des parasols de l’Hôtel Golf qui n’avaient pas dû voir tant d’eau depuis qu’on les avait sortis cet été. D’ailleurs l’eau ils n’ont pas trop aimé. On les comprend. Nos cocktails maï-taï s’en sont trouvés allongés.
Ensuite, vadrouille dans St-Etienne à la recherche d’un lieu de débauche communément appelé bar, en compagnie de notre attachée de presse Leslie, de Fabrice C. et de son acolyte et néanmoins autochtone : Sylvain. Quelques crises de fou rire plus tard on retrouvait l’hôtel, légèrement fatigués.
Dimanche midi : déjeuner au soleil. Douceur et bronzette rapide. Vous avez sûrement eu le même, par chez vous. C’était bien, non ?
Dimanche soir : enfin un peu de temps auprès de ma Belle. Ils sont trop rares, ces moments.


Merci donc à Sylvain qui a supporté de bon cœur nos réflexions embrumées sur sa conduite et nous a entraînés dans les rues animés – si – de St-Etienne passé minuit. Suffit de les connaître, ces rues…
Merci à Elodie P. pour les sticks – je les ai achevés dans le train du retour.
Merci à toute l’équipe de la Fnac : on a passé un joli moment sur le stand, sans parler du champagne et du chocolat à gogo.


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Paris est toujours synonyme de visite longue durée chez Bragelonne, de déjeuner avec mon éditeur.
Ça tombe bien, j’adore ça.
De bonnes nouvelles en perspective. Je ne peux pas en parler, là, tout de suite maintenant, car rien n’est définitif – je sais, c’est énervant et je ferais mieux de me taire, mais voilà, je ne peux pas m’empêcher de vous titiller.
Bon à savoir tout de même : la nouvelle voix de ma narratrice plaît autant à mon éditeur qu’à moi. L’expédition vers le sommet va donc pouvoir reprendre.
Je vais modifier des parties entières du synopsis.
Eh oui.
On imagine mal la souplesse requise chez un écrivain. Nadia Comanecci des lettres.
Donc, les prochaines étapes : écrire encore quelques pages avec ma Emma N°2, la mettre en scène durant une ou deux scènes supplémentaires. Puis m’attaquer au synopsis, très rapidement, pour une seconde mouture. Bien sûr, les fondements de l’histoire restent les mêmes. Et la romance demeure au premier plan.


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A Paris, j’aurais aussi déjeuné avec Henri L., que je n’avais pas vu depuis un bon bout de temps. Trop long, ce bout de temps, si voulez mon avis. Sa bonne humeur, son enthousiasme débordaient sur toute la terrasse. Ensuite, et en sa compagnie, direction Sébastien D., réalisateur et technicien d’effets spéciaux. L’occasion de discuter du génial et injustement décrié, raillé, mésestimé Alexandre, d’Oliver Stone : Sébastien avait travaillé sur ce projet de titan, accompagnant de longs mois durant le tournage.
J’étais heureux de pouvoir dire tout le bien que je pense du film à l’un de ses créateurs. Content aussi de jeter un œil sur le trailer qu’il concocte avec Henri.
Maintenant, retour un peu triste à Rennes. Ma fille ne sera pas là, ma Douce vit et travaille bien loin de moi, les copains sont en vadrouille…
Probable que j’aille du côté de St-Malo voir à quoi ressemble la mer en octobre.

2 commentaires:

Corwin a dit…

Damned ! :)
c'est que t'as du boulot toi !!

et puis la mer, en octobre ou à n'importe quel moment, c'est reposant, c'est fascinant, c'est... "sérennisant" (comment ça c'est pas dans le dico ? ça devrait !)

courage pour Emma V2.

et on attend la suite des bonnes nouvelles :)

Erik Wietzel a dit…

Oui, un peu de courage et surtout de la volonté :-)
Merci !
Des bonnes nouvelles bientôt...