lundi 8 juin 2009

Bientôt...

Les Dragons de la cité rouge devrait être disponible à Marseille, le temps des Bouquinades, en exclusivité.
A l'heure qu'il est, je n'ai pas encore vu la couverture achevée.
Mais la 4e, oui.
Rédiger la 4e de couv', comme on appelle le résumé au dos du livre, s'est avéré être le casse-tête habituel : tout dire ?
Non, bien sûr.
Mais ne rien oublier de ce qui pourrait intéresser le lecteur potentiel. Celui qui prendra le livre entre les mains parce que l'image, le titre, le nom de l'auteur et/ou de l'éditeur, l'auront accroché. Faut-il évoquer le plus singulier ? Au contraire insister sur le plus familier ?
Trouver un équilibre entre les deux, certainement.
Pendant l'exercice, oublier que l'on a soi-même écrit le roman et que l'on en connaît donc tous les détails. Pas l'arpenteur de librairies. Il faut ménager les surprises, donc ne pas "spoiler", mais on doit aussi dire que le lecteur sera surpris, et en quoi.
On le doit.
Ou pas.
Mon éditeur, Stéphane Marsan, s'y colle. A moi de corriger le tir s'il y a lieu. Allers-retours, doutes... Depuis hier soir, nous avons tranché.

Voici ce texte :

Le prince héritier de Redfelt a été enlevé.
La rançon ? Une épée magique, jusque-là conservée dans les profondeurs de la citadelle. Sa lame retiendrait prisonnières les âmes des dragons qui ont failli réduire Redfelt en poussière trois siècles plus tôt.
Mais les émissaires royaux ont disparu, ainsi que la rançon. La reine Éline se tourne alors vers Alec Deraan, un chasseur de primes. Ils furent amants à l’époque où il était un officier de la couronne promis à un brillant avenir. Aujourd’hui, c’est un loup solitaire dont le seul ami est un dragon. Car Alec cache un secret : il est possédé par une démone aussi séduisante que dangereuse, un succube qui lui prête main forte en échange de l’exclusivité de ses faveurs.Troublé par ses retrouvailles avec une souveraine qu’il lui est interdit d’aimer, Alec accepte la quête à contrecœur et s’envole vers des contrées lointaines. Le temps presse : les dragons de l’épée pourraient se réveiller et achever la destruction interrompue il y a trois cents ans.

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